Nouvelles Récentes

C3 Solutions reconnue comme l’un des meilleurs employeurs de Montréal pour 2024

C’est une famille technologique soudée chez C3 Solutions

La designer de marque de C3 Solutions Inc., Annie Ngo, a commencé son association avec l’entreprise en tant que pigiste, engagée pour concevoir la brochure de recrutement de la firme montréalaise. En découvrant les employés, les avantages et la culture du lieu de travail de C3, Ngo se souvient que sa première pensée a été : « Pourquoi est-ce que je ne travaille pas là ? »

Et en 2019, lorsque Élise Crevier, aujourd’hui présidente de C3, a demandé à Ngo de devenir la designer de marque à temps plein de l’entreprise, elle n’a pas hésité. C3 avait beaucoup d’attraits, de son logiciel de gestion de cour et de planification des quais de premier ordre à l’implication des employés dans l’engagement communautaire de l’entreprise. Mais c’est la culture du lieu de travail, dit Ngo, qui a été, et reste, la raison la plus convaincante de rejoindre l’entreprise.

« C’est un groupe très soudé qui est en même temps accueillant pour les nouveaux venus, » dit-elle. « Il y a une confiance et une reconnaissance du travail de chacun, ce qui semble petit et quelque chose qui devrait être automatique, mais ce n’est pas le cas dans beaucoup d’endroits. L’une des choses que j’apprécie le plus de mes quatre années chez C3 est l’opportunité de grandir avec mes collègues. On réalise qu’on est devenu membre d’une très grande famille. »

C3 n’est pas une entreprise familiale au sens propre, mais « famille » est un mot que Crevier, qui plaisante en disant qu’elle est « née chez C3 », utilise constamment pour la décrire. Elle est récemment devenue la 12e employée actuelle de C3 – soit plus d’un cinquième de l’effectif – à célébrer son 20e anniversaire dans une entreprise qui n’a même pas encore 24 ans.

« C’est rare dans le secteur technologique, » dit la présidente. « Ce qui nous a distingués dès le début, c’est d’avoir construit une culture familiale, de prendre soin de nos gens, d’être présents les uns pour les autres dans les moments difficiles, et de vraiment aimer nos gens pour leur contribution. »

La prise en charge familiale va bien au-delà de la coutume de C3 de prendre les repas ensemble ou de sa salle de sport sur place et de ses « boot camps », comme Crevier appelle les « activités de bien-être mêlées au développement d’équipe » organisées trois fois par semaine. Un élément encore plus crucial pour soutenir l’esprit familial, selon Crevier, est de combiner une structure non hiérarchique avec de nombreuses opportunités — un facteur majeur pour fidéliser les employés sur le long terme dans une organisation relativement petite.

« Nous sommes assez plats comme organisation, » dit Crevier. « Nous nous concentrons principalement sur les intérêts de nos employés — ce qu’ils aiment et là où ils sont forts — et sur leur développement, de sorte que les gens bougent facilement entre les postes et les missions. À mesure que notre entreprise évolue, nous nous assurons de mettre la bonne personne à la bonne place. Nous sommes opportunistes de cette manière, dans le meilleur sens du terme. »

L’autre face de cette approche, poursuit-elle, est de s’assurer que les nouveaux employés correspondent à la famille et à ses valeurs. « Quand nous recrutons des personnes, nous devons sentir qu’elles ne sont pas seulement là pour travailler et avoir un chèque de paie, mais pour collaborer, soutenir les autres et vivre notre culture. Nous avons refusé des personnes hautement qualifiées pour cette raison : elles ne s’intégraient pas, » dit Crevier. « Nous ne recherchons pas l’homogénéité — nous valorisons la diversité — mais il doit y avoir un alignement des valeurs. »

Ngo estime que cet alignement et la camaraderie qu’il engendre résument C3, ce qui est évident pour elle au bureau comme en dehors. « Quand on sort après le travail, personne ne parle du bureau, on parle de nos vies et de nos centres d’intérêt, » dit Ngo, « ce qui en dit long sur le fait que le lieu de travail est sans stress. »

Cet article est paru dans le magazine annonçant les gagnants du palmarès des meilleurs employeurs de Montréal cette année, publié le 27 février 2024 dans la Montreal Gazette. Cet article a été préparé avec le soutien financier de l’employeur, qui en a relu mais n’a pas rédigé le contenu.